Hécatombe

Catégories : Humour, FESSESTORY sexe, BDSM,libertin, ABDL, fessée
il y a 4 ans

Il est un peu plus de seize heures quand Sara, une espionne irakienne, pénètre dans l’hôtel. A l’aide d’un passe, elle ouvre la porte d’une chambre, ou se trouve un espion américain, et referme derrière elle. Elle se trouve nez à nez avec lui. Il sort de la douche, une serviette nouée autour de la taille.

Dans le couloir, les clients entendent des bruits de chaises casser, ainsi que des cris horribles. Ce sont des cris d’hommes. Il y en a un toutes les deux, trois minutes. La sécurité, avertit par la direction de l’hôtel, se précipite à l’étage, essai d’enfoncer la porte. Quand ils y parviennent, ils découvrent un spectacle d’horreur. L’espion américain, git au sol, dans une mare de sang, son sexe enfoncé dans la bouche.

Les cris qu’on entendait, c’était chaque fois que l’espionne l’attrapait par les couilles, certainement pour le faire parler. A la fin, l’irakienne lui a coupé les couilles.

L’incident diplomatique est déclenché. Les Etas Unis décident d’envoyer un contingent de « Marines », triés sur le volet, stationnés à une centaine de kilomètres de là. Ils seront opérationnels dans deux jours.

Il fait une chaleur caniculaire. Aussi, dès qu’ils mettent un pied à terre, ils décident de se baigner dans un bras de mer. N’ayant pas de maillot, ils se baignent tout nu.

Ils n’ont pas vus, l’armé de femmes irakiennes, qui les espionnent du haut de la colline. Quand elles chargent, il est trop tard. Ils n’ont pas le temps de récupérer leurs armes. C’est donc un combat au corps à corps qui s’engage. Mais les soldats, désarmés et nus, sont une proie facile. Les irakiennes n’hésitent pas à les saisir par un endroit précis de leur anatomie. Les « Marines » hurlent de douleur quand l’une d’entre elle les attrape par les couilles. Un vrai carnage.

Les soldats sont mutilés, castrés sur place. Ils ont la bite d’un collègue enfoncée dans la bouche, ou dans le cul. Ceux qui tentent de s’échapper, sont aussitôt repris, ramener en se faisant tirer par la queue, ou par les couilles. Certaines s’amusent avec eux, les enculent, enfoncent des trucs dans leur petit trou, décalottent leur queue, fendent le gland, ou le coupe, laissant la peau du prépuce sanguinolente. Une, plus féroce, attrape un « Marines », fait un nœud coulant autour des testicules, à l’aide d’une cordelette. Puis elle lance la corde par dessus une branche d’arbre. Elle tend la corde, jusqu’à ce que le soldat se soulève. Les cris de douleurs sont insoutenables. La guerrière irakienne vient de le pendre par les couilles.

Des soldats supplient pour ne pas être castrés, d’autre au contraire, donc leurs couilles ont été coupées, réclament la mort. Un caporal est allongé, à cheval sur un tronc d’arbre. Une guerrière lui tire les couilles en arrière, les serre pour qu’elles gonflent, puis elle leur assène un violent coup de matraque, qui fait exploser les testicules. Il perd connaissance.

Jugeant leur mission accomplie, les guerrières quittent le champ de bataille.

Un groupe de soldats américain, prévenu du désastre, et appeler pour récupérer les corps. Ils découvrent un spectacle hallucinant.

Pour que la victoire soit encore plus humiliante, les guerrières irakiennes ont planté la bite des soldats noirs, dans la bouche ou dans le cul d’un blanc.

Trois soldats manquent à l’appel. Ils ont été faits prisonnier, pour servir de jouets sexuels aux militaires irakiens, hommes et femmes.

Comme si ça ne suffisait pas, le gouvernement décide d’envoyer une armée de femme, pour équilibrer les forces.

Hélas, trois fois hélas, elles ont toutes finis dans les camps irakiens, à se faire gouiner, baiser, enculer, à sucer des queues et bouffer des chattes.

Par sécurité, les prisonniers sont entièrement nus dans le camp, pour éviter toutes évasions. Mais aussi, au cas ou un soldat aurait l’envie pressante de baiser une femme, ou enculer un homme.

Le soir, c’est l’orgie. Les femmes se font remplir par les soldats avides de sexe, ou se font gouiner par de jeunes guerrières, qui leur branle la chatte, ou doigte leur petit bouton, jusqu’à ce qu’elles atteignent l’orgasme. Leurs cris de plaisir déchirent la nuit. Pour leur plaisir, les soldats irakiens obligent leurs prisonnières à se gouiner entre elles. Ils assistent au spectacle, un ou une « Marines », empalée sur leur grosse queue.

Excitées, les prisonnières poursuivent leurs jeux lesbiens sous leur tente.

Quand aux trois Marines, ils se font sodomiser par d’énormes bites. Avec le temps, ils se sont habités, maintenant, ils prennent plaisir à se faire enculer.

Le colonel, un véritable colosse, passe le plus clair de ses nuits entre les mains de la doyenne du camp. Elle lui fait subir les pires sévices, l’encule avec une matraque, ou lui frappe les couilles, qui doublent de volume à force de coups.

Cinq mois ont passés. La moitié des prisonnières sont enceintes. Les espoirs de libération s’amenuisent. Ils ne seront jamais libérés, abandonnés à leur sort.

Petit à petit, les prisonnières s’habituent à leur nouvelle vie. C’est même elles qui réclament leur dose de coups de queue. Pour ne courir aucun risque, les femmes enceintes, elles, préfèrent se faire enculer.

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